Cédrole Niangou, étudiant au doctorat, réalise un projet de thèse intitulé « Le statut juridique du cadavre humain en droit congolais et canadien » et encadré par la professeure Marie-Eve Arbour de la Faculté de droit de l’Université Laval et la professeure Mariève Lacroix, de la Faculté de droit, Section de Droit civil, de l’Université d’Ottawa.
L’intérêt de la société pour le cadavre va en augmentant, notamment en raison des enjeux relatifs aux prélèvements d’organes visant à sauver la vie des malades, à l’autopsie scientifique, à l’autopsie médico-légale, à la thanatopraxie ou encore aux pompes funèbres. À travers cette étude comparée Congo-Canada, Cédrole, passionné du sujet, entend interroger le Droit sur la véritable nature juridique du corps humain après la mort, dans l’objectif de savoir s’il demeure toujours un sujet de droit ou s’il devient un objet de droit, donc une chose.
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